« La lecture à voix haute ouvre la voie à des perspectives didactiques passionnantes à condition que l’enseignant renonce à des représentations stéréotypées, notamment l’idée que la lecture à voix haute sert avant tout à vérifier des compétences de lecteur qui trouvent leur accomplissement dans la lecture silencieuse, et qu’elle n’est possible que si le sens du texte est parfaitement compris. Pour renverser cette dynamique et redonner à la lecture à voix haute la place qu’elle mérite, il faut accepter d’en faire un objet d’apprentissage en soi. » Catherine Nicolas
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